Considérée comme une des plus anciennes danses du monde, les origines de cette danse remontent aux anciens rites de fertilité. C'est une danse sensuelle qui rend hommage à la féminité.
Elle puise anthiquement ses racines en Inde puis s'étend sur le Moyen-Orient, notamment en Egypte berceau de la danse orientale et au Maghreb.
Appelée aussi «danse du ventre» parce qu'elle met en exergue les mouvements de bassin de la danseuse. Cette appellation est souvent contestée par les danseuses professionnelles, car restrictive.
C'est lors de voyages des soldats Napoléoniens en Orient que cette danse rencontra l'Occident.
Pratiquée depuis toujours dans les campagnes et les villes orientales lors de festivités, pour exprimer leur joie de vivre, elle fut associée, à tort, à la prostitution à cause des mouvements de bassins et ventre dénudés censurés depuis le moyen âge en Occident.
De nos jours, elle est de plus en plus dansée et enseignée dans les pays occidentaux. Et depuis quelques années maintenant sur la ville de Palaiseau, avec Apsarâ Songe d'Orient.
Cependant, l'expression corporelle sensuelle nécessaire à la danse orientale est encore souvent confondue avec une attitude provoquante vulgaire, qui fait du tord à cette discipline.
Il ne tient qu'à nous de rendre à cet art ses lettres de noblesse.
Cette discipline, plus spirituelle qu'elle n'y paraît, permet de nouer avec son corps quelles que soient les morphologies, un lien sensuel harmonieux et d'exprimer sa sensilbilité sur des rythmes entrainant. Selon les pays, folklores et occasions où elle est pratiquée, la Danse Orientale, revêt plusieurs styles.
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